Lettre écrite par Marlene Dietrich le 28 janvier 1983, il y a donc trente ans aujourd'hui. Marlene, tous les matins, signait les photographies, cartes postales ou autres documents envoyés par ses admirateurs. Le ton de la lettre est très marlenien : naturally et Who could possibly question that ?
Que dirait un graphologue (il en reste ?) de l'écriture de Marlene, avec ses immenses lettres qui ne lui permettent que trois mots par ligne.
Les y, w et ? sont très reconnaissables.
Je trouve que son écriture lui ressemble bien, très saccadée, géométrique et large. Je dirais entière, en fait , je pense que Marlene ne faisait pas à moitié une chose, et quand elle le faisait , c'était comme un cri du coeur. Elle aimait ou aimait pas la personne. Tout partait d'un élan . Merci.
RépondreSupprimerTout à fait d'accord avec vous ! Son écriture est énergique et anguleuse. Avec l'âge, comme elle refusait tout contact et qu'elle ne pouvait pas se faire fabriquer des lunettes adaptées à sa vue déclinante, elle écrivait en majuscules. Dans certains publiés par Alain Bosquet, on constate malheureusement à son écriture que Marlene avait bien décliné les derniers mois.
SupprimerMerci.
Ce mois-là exactement, cela m'avait très plaisir de recevoir la mienne, de photographie, barrée d'une grande signature anguleuse au stylo bleu...
RépondreSupprimerMes coordonnées avait été découpées de mon courrier et collées sur l'enveloppe
Heureux homme ! Je pense que vous avez gardé précieusement cette relique de la dernière Déesse. Oui, son écriture se composait de grands traits. Elle s'occupait tous les matins de ce qu'elle appelait sa "mâle poste". Marlene était capable de faire des jeux de mots en français...
SupprimerMerci Jérôme et à bientôt, j'espère.